Deux principes nous conduisent dans l’imaginaire sensuel et cosmique du photographe : l’abstraction du sujet obtenue par une certaine approche photographique qui tend à souligner l’osmose entre le corps, l’eau, la pierre, et l’utilisation du grand format où se déploie l’expression gestuelle de l’eau.
Ce travail joue sur la limite de la disparition ou de l’apparition du corps, cristallisé par la transparence et le mouvement de l’eau, c’est le temps qui crée ou annihile la matière.
Ces recherches et leur traduction entraînent une perception fusionnelle et plastique qui aboutit à la transmutation des matières.